Soumise sexuelle à son patron dominateur
Cela faisait maintenant 6 mois que je travaillais en tant que assistante personnelle de PDG d’une grande banque nationale. Et chaque fois que mon patron me demande de le retrouver dans sans bureau pour une séance de travail, je ne peux m’empêcher de penser qu’il va enfin sauter le pas et donner libre cours à cette tension sexuelle qui crépite entre nous à chaque fois que nous retrouvons tous seuls. Je n’aurai jamais penser que mon fantasme se réaliserait-il plus tôt que je ne pensais.
Le patron est chaud du cul !
J’étais plongée dans mon travail, lorsque la porte s’ouvrit sur le maître des lieux. Je le regardais approcher, fascinée. Nos yeux se croisèrent, et je vit sur le visage de G (c’est ainsi que je nommerais mon patron) une lueur flatteuse dans ses yeux. Aussitôt, la tension monta d’un cran dans le vaste bureau au point d’en devenir presque palpable.
Étourdie par le désir brûlant que G ne cherchait même pas à dissimuler, je me sentit fondre.
— Venez dans mon bureau me dit-il!
Sans même réfléchir, j’obéis à cet ordre impérieux. je le suivit, tous les sens en alerte.
Il s’installa dans son fauteuil, qu’il écarta un peu, et lança :
— Retire ta jupe.
Je jetai un rapide coup d’œil en direction de la porte.
— J’ai fermé à clé, olivia,me rassura-t-il sur un ton impatient. Maintenant, ôte-moi cette jupe.
Réprimant mon hésitation, je fis glisser le vêtement à mes pieds, me dévoilant au regard avide de G.
Contrairement à ce que j’aurais cru, il ne me demanda pas de retirer mon haut et mon soutien-gorge mais m’attira entre ses jambes. Puis il me prit solidement par la taille et me hissa sur son bureau, m’arrachant un cri de surprise.
– Pose les mains derrière toi et détends-toi pendant que je savoure mon dessert, ajouta-t-il d’une voix plus douce.
Je retins un petit cri, mais m’exécutai prestement. Il m’écarta les cuisses, dévoilant mon sexe à ses regards, à ses caresses.
Il passa d’abord un doigt entre mes lèvres humides, puis les ouvrit délicatement. Lorsque, enfin, il baissa la tête, je me tendis, folle d’anticipation.
Le premier contact me fit l’effet d’une décharge électrique, et je sursautai si fort que je faillis glisser du bureau.
Avec une grande douceur, G fit jouer sa langue sur mon clitoris avant de décrire de petits cercles tout autour puis de l’aspirer dans sa bouche. Je sentis mon désir s’enflammer et courir dans mes veines, me réchauffant tout entière. Chacune de ses caresses me faisait planer un peu plus haut et m’emmenait au bord de l’extase, toujours plus près, si bien que je haletais littéralement.
Alors il changea de tactique et descendit peu à peu vers l’entrée de mon sexe en de longs mouvements. Plaçant ses lèvres contre les miennes, il fit jouer sa langue un instant avant d’entamer d’irrésistibles va-et-vient.
Le plaisir incroyable qu’il me procurait ainsi confinait à la douleur, et je me tendais un peu plus à chaque caresse, dangereusement proche de l’orgasme. Pourtant, G ne semblait pas pressé de me délivrer de cette exquise torture. Au contraire, il comprenait parfaitement les réactions de mon corps et prenait un malin plaisir, chaque fois qu’il me sentait sur le point de m’abandonner, à ralentir le rythme et à me calmer par de subtils baisers.
Je n’avais jamais connu personne qui maîtrise à ce point l’art de la chose. G avait beau se qualifier d’égoïste exigeant, il était aussi très doué pour donner du plaisir. Il savait ce qu’il faisait, et je me sentait sur le point de défaillir.
— S’il vous plaît, Monsieur murmurai-je. Je n’en peux plus.
Il rit doucement à ces mots, et j’en perçu l’écho contre mon clitoris. Cette infime secousse faillit me faire perdre la tête. Puis il déposa un baiser sur ce point si sensible avant d’introduire un doigt en moi.
—Pas encore, Olivia. Quelle impatience ! C’est moi qui décide quand tu as le droit de jouir.
La suave autorité de sa voix me fit frissonner tout entière.
—J’adore le goût de ta chatte, ajouta-t-il dans un grondement sourd. Je pourrais passer l’après-midi à te lécher.
Je me dit que, s’il jouait à ça, j’en mourrais avant la fin de la journée. Déjà que j’étais obligée de serrer les lèvres pour me retenir de l’implorer. G leva les yeux vers moi et comprit ma torture.
— Supplie-moi, Mia, dit-il sans cesser de faire jouer son doigt en moi. Si tu me le demandes gentiment, je t’autoriserai à jouir.
— Oh, je vous en supplie, G. Faites-moi jouir !
—Tu appartiens à qui ?
—À vous, Monsieur! Vous me possédez, je suis vous répondis-je.
— Et, si j’ai envie de te baiser après ça, c’est mon droit, n’est-ce pas ?
— Oh oui ! Faites ce que vous voulez, mais faites-moi jouir, svp Monsieur!
De nouveau il rit avant d’introduire deux doigts en moi et de taquiner mon clitoris avec une ferveur redoublée. Mon orgasme explosa avec une violence digne d’un tremblement de terre. Bouleversée, désorientée,je m’allongeai sur le dos. Aussitôt Gabe se pencha sur moi, une expression sauvage et séductrice sur le visage.
Il défit son pantalon et, empoignant son sexe dressé, me pénétra d’un formidable coup de reins avant même que mes spasmes aient fini de me secouer. Il passa les mains sous mes cuisses et m’attira brutalement contre lui. Il semblait atteindre le plus profond de mon être.
— Tes yeux, Olivia. Ordonna-t-il.
je croise son regard et ne le quittai plus.
Il n’était plus question de lenteur ou de douceur, il me baisa furieusement me soulevant presque du bureau à chaque coup de boutoir, faisant claquer son bassin contre mes fesses à un rythme effréné. Puis, brusquement, il se retira et reprit son érection en main.
Se penchant un peu plus sur moi, il arrosa mon sexe de sperme à coup de longs jets chauds. Il avait les yeux fermés, et son visage était crispé par une jouissance qui semblait faire écho à mienne. On aurait presque cru qu’il souffrait le martyre, mais, lorsqu’il rouvrit les yeux, je vit une chaude lueur de satisfaction. je sentais la tiédeur de son sperme sur mes lèvres encore gonflées de plaisir. Avec un soupir, G se recula lentement et rajusta son pantalon, avant de passer les mains à l’intérieur de mes cuisses puis sur mes hanches. Il couvait d’un regard triomphant la preuve de sa possession.
—J’adore te voir comme ça, allongée sur mon bureau, la peau luisante de mon sperme… J’aurais envie de te garder comme ça tout l’après-midi, pour pouvoir t’admirer à loisir. Sur ces mots, il s’éloigna
Je peux vous dire que depuis ce jour je suis accro au boulot, enfin je dirai que je suis accro à mon patron!